15 août 2006
Mourir de quoi
- Mon coeur, ému, pâlit.
Les battements de cet organe si fragile
M'enivrent et l'adrénaline -
Adieu.
- Je dérive et signe, un arrêt de -
Tu me retiens, tu m'empêches
Je vois ton coeur, je l'imagine.
- Tu ne souffriras plus
Et celà me soulage
J'avais si peur pour toi
Et maintenant -
- Tais-toi, c'est l'heure, je pars
Tu ne seras pas seule
Je reste près de toi
- En pensée.
- Au revoir, à bientôt -
Ne me quitte, reste!
Je t'en supplie, je t'aime
- Ne pleure pas, adieu
Je t'aime
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